Plongée dans une lecture à la fois philosophique et biographique....

Il y a quelques jours, je me suis décidée de lire le livre Un jour je m’en irai sans en avoir tout dit de Jean d’Ormesson.

Tout d’abord, voici quelques notes sur la vie de l’auteur (histoire d’en connaître un petit peu sur lui :) ) :

Jean Bruno Wladimir François de Paule Le Fèvre d’Ormesson est un écrivain, chroniqueur, journaliste, philosophe et acteur français. C’est un normalien, agrégé de philosophie. Il est né le 16 juin 1925 à Paris, en France. Fils d’André d’Ormesson (ambassadeur de France, qui fut aussi un ami de Léon Blum) il est aujourd’hui membre de l’Académie française (depuis 1973).

                 

J’ai commencé ce livre, ne sachant pas trop ce qui allait m’attendre au fil des pages… Je fus tout de suite emportée par sa façon d’écrire, par ses points de vue, ses réflexions. Décomposée en trois grandes parties (elles-mêmes composées de plusieurs chapitres), cette œuvre nous emmène à Plessis-lez-Vaudreuil, là où s’entremêlent les souvenirs d’enfance de son auteur. De plus, tout au long de cette lecture, nous découvrons la vie de Jean d’Ormesson, les œuvres qu’il aimait lire, et son regard sur l’évolution de la technique, de la religion, de la guerre, de la vie et de la mort.

C’est une vraie réflexion sur la vie, sur les Hommes qui en même temps nous narre la vie de Jean d’ Ormesson, qui est un grand homme.

Avec une très belle écriture expressive, ornée d’humour, l’auteur nous transporte littéralement dans son ouvrage… (A tel point qu’en deux jours, j’ai dévoré ce livre à pleines dents !!!)

Je ne vous en dis pas plus, et vous laisse pour vous-même lire ce livre…

Pour ma part, j’ai été conquise de lire ce livre, et à la fin très heureuse de me dire que j’avais lu un livre de Jean d’Ormesson !

Voilà quelques petits extraits (histoire de vous mettre en appétit :) )

« Vous savez quoi ? Tout change. Le climat, à ce qu’on dit. Ou la taille des jeunes gens. Les régimes, es frontières, les monnaies, les vêtements, les idées et les meurs. Une rumeur court : le livre se meurt… »

« J’aimais les histoires. J’aimais les paroles et les mots. J’aimais beaucoup les livres. Ils me consolaient de mes chagrins. »

« Voilà. Tout change. Tout reste semblable. C’est le mystère du monde. Ce mystère a un nom. Il s’appelle le temps. »

Bonne Lecture !!! :)

Comments

[quaidesproses]

J'avais beaucoup apprécié la lecture de ce livre, moi aussi :)

[eimelle]

Après tout.. pourquoi pas!

bonne soirée!

[The magical box]

Je suis une grande fan de Camilla Lackberg et de la Suède! :P Tu as de la chance d'y vivre!!!!! :) Pour moi ce serait un rêve d'y aller!!



>> Oh *^* Les amis de la Suède sont mes amis ahah. C'est un pays magnifique j'espère que tu auras l'occasion d'y passer un moment :D

[sous les galets]

Je reconnais n'avoir jamais rien de Dormesson...j'ai presque envie de réparer ça vite après avoir lu un tel enthousiasme...

[DonaSwann]

J'ai eu une mauvaise expérience avec un roman de cet auteur jadis, qui, en plus, se permettait d'être condescendant à l'égard de ses confrères, ou plutôt de ses consoeurs... Mais je pense de plus en plus que je suis mal tombée... Je réessaierai !